Présentation

 

 

Devenir avocate, était-ce une vocation ?

Je savais dès le plus jeune âge que d’une façon ou d’une autre, je travaillerais dans le monde de l’entreprise. 

J’ai adoré mes études de droit, d’abord le droit commercial, puis ensuite fiscal et même le contentieux administratif et surtout le droit des affaires.

J’aime sa complexité, son étude est passionnante car infinie. Sa connaissance permet d’être créatif grâce aux outils à notre disposition : textes, jurisprudences, et expérience 

Il faut également être quelque peu rebelle, oser s’opposer, se battre, au contentieux notamment, soulever des nullités dans les procédures, accepter de ne pas plaire à tout le monde.

Vous avez d’abord été avocat généraliste pour ensuite vous spécialiser dans le droit des affaires

Avoir été avocate généraliste, avoir traité de multiples dossiers dans des domaines très diversifiés du droit et devant des juridictions spécialisées, me semble une force aujourd’hui. Cela me permet de définir une stratégie très large, d’aborder tous les aspects du dossier, y compris les suretés, les voies d’exécution... 

Vous êtes donc une avocate du contentieux ?

Oui, ma pratique a été majoritairement le contentieux.

Cependant elle a évolué vers la négociation notamment suite à une formation sur les modes alternatifs de règlement des litiges, et la médiation en droit des affaires en particulier.

Beaucoup de dossiers sont transigés. Un bon protocole d’accord évite l’aléa judiciaire et permet de formaliser des solutions qu’un juge n’aurait pas le pouvoir de trouver. 

Aujourd’hui j’évolue vers le conseil. 

Vous travaillez depuis quelques années avec la Chine. Pourquoi ce pays ?

Comme jeune avocat, j’ai rapidement fait partie de l’association internationale des jeunes avocats car je souhaitais travailler à l’international puis j’ai eu un véritable coup de coeur pour la Chine. 

J'ai souhaité m’impliquer dans ce pays, jusqu’à y vivre pendant un an en 2015. Professionnellement, c’est passionnant de coordonner deux systèmes de droits avec une approche humaine, sociale et une pratique du droit des affaires différentes.

Quelles sont vos valeurs ?

Le serment d'avocat  :« Je jure, comme avocat, d'exercer mes fonctions avec dignité, conscience, indépendance, probité et humanité »

formation

Formations

-      Diplôme d’Avocat en 1990

-      Institut d’Études Judiciaires Faculté de Droit AIX EN PROVENCE 

-      DESS de Droit des Affaires option Fiscalité ( Lauréat de la Faculté) 

-      DJCE - Institut de Droit des Affaires AIX EN PROVENCE 

-      Maîtrise Droit Commercial - AIX EN PROVENCE 

-      Licence de Droit commercial et Contentieux Administratif - PARIS II ASSAS 

-      2013 Médiation en Droit des Affaires et Négociations Resolvers - PARIS 

-      Droit international séminaires AIJA - UIA

Langues :

Français, langue maternelle Anglais, écrit lu parlé Chinois, notions de base

Compétences

Domaines de compétences

Droit du travail

Droit des entreprises

Droit de la famille

Droit de l'immobilier

Droit pénal

Droit international

Droits fondamentaux

Point forts

  • droit des sociétés statuts sur mesure
  • Droit des salariés
  • Expatriés droit du travail international
  • conflits d'associés
  • négociation et contentieux

Politique d'honoraires

La convention d'honoraires prévoit notamment que le cabinet a une mission de représentation, d’assistance, de négociation et de défense, dans les dossiers qui lui sont confiés. 

La mission prend effet à compter de la remise des informations nécessaires à son exécution, de l’accord sur les conditions de rémunération et le paiement de la première provision d’honoraires.

Pour les contentieux judiciaires, la mission prend fin avec le prononcé de la décision ou des décisions de Justice mettant fin au litige ; elle peut être prorogée jusqu’à la signification de chaque décision de Justice, son exéquatur et son exécution. Elle peut prendre fin aux  termes  d’une négociation ou d’une médiation, par la signature d’un protocole d’accord ou d’un contrat et son éventuelle homologation judiciaire.

La mission peut prendre fin à tout moment l’initiative du cabinet notamment en cas de divergence importante de vue sur la stratégie et les moyens de défense à adopter dans la mission confiée ou de défaut de paiement des honoraires convenus et quinze jours après une mise en demeure par lettre RAR restée sans effet.

Elle peut prendre fin à l’initiative du client s’il souhaite mettre un terme au dossier ou changer de conseil. Le dossier sera transmis au nouveau conseil qui n’occupera que sous réserve du parfait paiement des honoraires dus à cette date.

Des conditions particulières définissent la mission et son coût de même que les modalités de paiement