Radié ARE pole-emplois après fin de mission Interim ?

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  milou27 Le 09-12-2021 à 18:30

    + 1000 messages

  
  

  Bonjour
  
  S'agissant d'un contrat de mission dont l'objet est un accroissement temporaire d'activité , le contrat doit mentionner une date de début et une date de fin  
  
  Dès lors que vous menez le contrat de mission j'usqu'à son terme  ( date exacte de fin ?) et ne souhaitez pas que votre contrat soit renouvelé ou bien refusiez une proposition d'embauche en CDI, 
  - Pole emploi considerera que vous avez perdu involontairement votre emploi 
  
  Pour toucher le chomage indemnisé , tout dépend de votre parcours au cours des 24 derniers mois 
  Il faut totaliser au moins 6 mois de travail et ne pas avoir mis fin volontairement à un emploi repris 
  
  Ce qu'on vous a dit est inexact pour vous pousser à accepter un CDI en fin de contrat 

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  Membre

  hirochimas Le 09-12-2021 à 19:03

  Bonjour milou27,
  Merci de votre réponse rapide!J'ai bien eu une date de début et fin :
  
  Durée de la mission 08/11/2021 au 17/12/2021 Inclus *
  Souplesse 10/12/2021 au 24/12/2021
  Horaire collectif 35,00 h Période d'essai : 3 (j.t.)
  
  
  Pour information, je suis déjà inscris à Pole emploi et j'ai Nombre de jours d?allocation restants: 493 au 30 nov. 2021.
  
  En effet, après la fermeture de mon ancienne entreprise j'ai du m'inscrire à Pole-emploi pour toucher ARE. J'ai trouvé seulement un contrat interim dans mon poste il y a 1 mois. Même si je suis déjà inscris avec déjà des allocations je ne vais pas avoir de problème ?
  
  Mon chef d'entreprise m'a dit que les interim était capable de dire ca pour toucher la prime si l'interimaire décide de signer un CDI est-ce exact ?
  Cordialement,

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  Moderateur

  milou27 Le 10-12-2021 à 08:03

  1° - La prime de précarité ne sara pas due si l'on vous propose une embauche en CDI que vous la refusiez ou non 
  
  2° - Il faut vous renseigner auprès de l'agence d'interim pour savoir s'ils souhaitent utiliser la période de souplesse positive , auquel cas vous devrez travailler jusqu'au 24/12   (exigez qu'on vous le confirme par E-Mail et dites-leur que s'ils comptent utiliser la souplesse, vous quitterez l'entreprise le 24/12)
  
  La fin de contrat (le 24/12)  sera assimilée par Pole ploi à une perte involontaire d'emploi même si vous refusez qu'on  renouvelle votre contrat 
  
  3° - Si c'est la première fois que vous ouvriez des droits au chomage lors de la fermeture de votre ex-entreprise, sachez que vous pouvez quitter volontairement un emploi repris sans perdre vos droits à condition d'avoir travaillé moins de 65 jours ou 455 heures en tout ( 3 mois - tous emplois repris confondus) depuis l'ouverture originelle des droits 

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• Membre

  hirochimas Le 10-12-2021 à 12:29

    < 10 messages

  
  

  Bonjour,
  Merci de votre réponse.
  
  2- il y a un problème car l'entreprise ferme ses portes pour cause vacancesle 17/12 et reprise le 03/01/2022. 
  3- Je me suis inscris le 27 janvier 2021 et rupture conventionnelle le 19/02/2021 avec mon ancienne entreprise.
  
  J'ai eu le maximum d'allocation soit 2 ans car je travaillais sans chomage depuis avril 2019.
  
  
  Donc si je récapitule et que la semaine prochaine j'annonce au chef d'entreprise que je souhaite prendre part à ma fin de mission sans reconduire à un contrat CDI ou intérimaire et qu'il marque bien 'FIN DE MISSION' comme stipulé également sur le contrat intérimaire je peux reprendre mes droits allocation chomage sans que l'interim me pose soucis ?
  
  Je n'ai clairement pas confiance à l'interim j'espère qu'il n'écriront pas n'importe quoi à pole-emploi...
  
  Cordialement,

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  Moderateur

  milou27 Le 10-12-2021 à 16:35

  OUI - c'est exactement cela
  
  Si l'entreprise ferme ses portes a partir du 17 /12 , il n'y aura pas lieu de prolonger la période de souplesse au-delà du 17/12 
  
  Faites-en part à l'agence d'intérim 
  
  Pas de problème pour la reprise de l'indemnisation chomage à la suite de la fin du contrat 
  
  Si vous deviez mettre fin volontairement à un autre emploi repris , tenez compte de la période déjà travaillée en Interim dans le décompte des 65 jours de travail ou 455 heures depuis l'ouverture des droits .

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